©Kudaka
Ôidê
Ôidê
Les créations
Ôidê, le chant de l’eau
Emmanuel Ménis, composition et projection sonore
Antoine Roux-Briffaud, chorégraphie et danse
Emmanuelle Brunat, clarinettes
Clément Ducol, percussions
Pauline Depassio, contrebasse
Krystyna Poltowicz et Guillaume Landron, scénographie
Ôidê – chant en grec –, c’est la chanson, une histoire qui vous est narrée ; un voyage, un voyage intérieur, un voyage géographique et corporel. Un voyage symbolisé par l’élément eau.
Ô, le fil conducteur de ce parcours, élément présent aussi bien dans les sons qui composent la partie électronique de la musique que dans le décor, l’eau créee un volume dans lequel nous sommes plongés.
Nous avons voulu cette pièce comme un chant. L’ode, la vibration des âmes, ondes musicales ou dansées. Un chant vous est donné à voir, à écouter, à ressentir, à apprécier.
Ôidê est un chemin qui vous mènera là où vos rêves vous emportent. Un ruissellement, un chuchotement, une transe, un bal, une marche, une disparition.
La collaboration, dès la composition, entre les différents champs artistiques fait de ce spectacle un ensemble équilibré qui laisse place à l’imaginaire.
Ôidê est une performance pluridisciplinaire (composition mixte pour clarinettes, contrebasse, percussions et électroacoustique ; création plastique et création chorégraphique) d’une durée d’environ 50 minutes. Particulièrement inspiré de la culture japonaise, vous retrouverez le mouvement lent du Nô, le rythme du Taïko, des influences de la danse Butoh ou encore le charme de la voix d’Hibari Misora.
©Jong-Rock Park
La première représentation a été donnée à l’Amphithéâtre de l’Astrée – Université Lyon 1 – le 27 février 2007.
Soutiens et résidences : Mécénat Musical Société Générale ; CNSMD de Lyon ; Le Croiseur, scène découverte danse.
Antoine Roux-Briffaud